mercredi 25 septembre 2019

Les percepteurs rouspètent. 25/9/1919. N°320.

Le syndicat général aux 5000 percepteurs de France
25 septembre 1919
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vendredi 30 août 2019

6000 erreurs ! 30/8/1919. N° 319

15 000 demandes de prime de démobilisation avant le 1er avril.
6000 mal adressées.
L'ex soldat Raynard recevra très prochainement l'ordre de paiement de sa prime
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jeudi 29 août 2019

Projet de recherche de champs d'aviation. N°318

29 Août 1919
Rapport fait au nom de la commission de l'administration générale, départementale et communale chargée d'examiner la proposition de résolution de Monsieur Chassaing concernant la recherche et l'organisation rationnelle de champs d'aviation sur l'ensemble du territoire, 

par Maurice Nibelle député.


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dimanche 18 août 2019

Jolie photo d'une jeune fille. 18 août 1919. N°317

Mystérieuse photographie–carte postale made in Canada
18 août 1919

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lundi 29 juillet 2019

Action aéro au Maroc 1917-1919. 29/07/1919. N° 316.

Résidence générale de la république française au Maroc
Commandement de l'aéronautique du Maroc
N°2982 D/3
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samedi 29 juin 2019

Lettre amicale du Docteur Jean Fiolle. 29 juin 1919. N° 315.

Lettre pas encore numérisée par les Archives du Puy-de-Dôme.
Clientèle retrouvée

La maison vide
La maison vide: sans doute allusion à son frère Paul tombé en première ligne en juillet 1917 il était chirurgien à l'ambulance chirurgicale numéro 21. 
Voir discours prononcé par le docteur Chassaing au 31 juillet 1917. 196J178 vues 28 à 30

lundi 10 juin 2019

De vilains petits canards. 10 juin 1919. N°314.

Le docteur Chassaing n'a pas que des amis !
Lettre anonyme.

Ambert le 10 Juin 1919
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lundi 3 juin 2019

Pontru dévasté. Lamentable. 3 juin 1919. N°313.

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 Département de l'Aisne
Arrondissement de Saint-Quentin
Canton de Vermand
Commune de Pontru

Pontru, le 3 juin 1919

À Monsieur Chassaing,
député, à Paris

Monsieur,

Nous voici de retour dans nos régions dévastées. Nous avons revu Pontru, ou plutôt l'emplacement de ce qui fut Pontru. C'est lamentable ! Plus une seule maison debout !

En ce moment une quarantaine d'habitants (hommes) sont rentrés et se construisent des abris.

Le baraquement destiné aux écoles et mairie doit arriver prochainement, et dès qu'il sera édifié, nous réintégrerons la commune. En attendant, nous habitons provisoirement

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P2 Saint-Quentin, où je reste à la disposition de Monsieur l'inspecteur primaire, toujours disposé favorablement à notre égard.

Jamais, Monsieur, nous n'oublierons toute la bienveillance que vous nous avez toujours témoignée, ni l'empressement avec lequel vous vous êtes constamment dépensé pour nous accorder généreusement votre précieux appui. Avec nos sincères remerciements veuillez agréer, Monsieur, la nouvelle expression de nos sentiments reconnaissants et dévoués.

(illisible) Venet
Instituteur de Pontru
30, rue Douchy,
Saint-Quentin (Aisne)

PS -dès le 8 avril, Monsieur inspecteur primaire de Saint-Quentin nous avait rappelé à notre poste à Pontru, mais les formalités étaient longues dans les bureaux des préfectures : c'est pourquoi nous avons eu recours à votre bienveillant concours.



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P3 deuxième lettre du 3 juin 1919.
De la même famille.
Et même adresse.
Monsieur, ne prenez pas pour de l'indifférence ce retard que j'apporte à vous donner de nos nouvelles. Depuis le 17 mai nous sommes arrivés à St Quentin: voilà deux jours seulement que nous avons trouvé un logement à peu près confortable.

Nous étions chez des amis, voilà pourquoi j'ai tant tardé à vous écrire étant dans l'impossibilité de vous donner une adresse exacte. Comme vous devez vous en douter, la

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P4 ville est dans un piteux état. Pas une maison on est intacte. Tout a été démoli systématiquement. C'est la 10 Descrues Sion c'est la destruction complète. Malgré tout 15 000 personnes sont déjà rentré. Mais parents sont allés à Pontru. Là, il ne reste plus rien de ce que fut notre cher village : on n'y voit que des amoncellement de pierre et c'est tout. Mais parents n'ont retrouvé rien de ce qui nous appartenait. Les bouchons fouiller dans le tas de pierres qui laissait deviner l'ancien emplacement de la maison, mais ce fut peine inutile. On construit quelques baraquements. Celui de l'école ne va pas tarder à arriver. Mes parents retournerons là-bas ; j'espère comme je vous ai déjà dit, être nommé à Saint-Quentin, en octobre, où mon mari trouvera un emploi soit

P5 dans une banque, ou au bureau de l'hôtel de ville.

Nous aurions bien voulu nous arrêter à Paris. Nous désirons tant vous voir ! Mais, en notre qualité de réfugié, notre temps était limitée. Mon père a vu monsieur le Docteur Darriel (nom incertain) qui lui a dit de continuer le même traitement. L'état reste toujours le même ! Monsieur le docteur Darriel (toujours incenrtai) conseille à mon mari de se rendre à l'hôpital La Riboisière (écristainssi) où il verra un spécialiste pour les reins et la vessie. Nous pensons nous rendre à Paris vers le 12 de ce mois et nous serons heureux d'aller vous voir. Ma sœur et mon beau-frère sont toujours fatigués. Mon beau-frère a reçu l'ordre de l'académie du Nord et de faire tourner dans la circonscription de Douai ou il enseigneait avant la guerre. Malgré la joie bien légitime que j'ai éprouvée à respirer l'air du                                                                      pays natal je serai heureuse de retourner à chaque vacances à Marat où nous avons passé de si bons moments; le mois d'août prochain me procurera ce plaisir.
J'espère, Monsieur, que vous continuerez comme par le passé à nous donner de vos nouvelles. Ne sommes-nous pas compatriotes maintenant ? Jamais nous ne pourrons oublier le bien que vous nous avez donné avec une telle largesse ! C'est très souvent que nous causons de vous en famille.

Laissez-moi vous remercier encore pour l'empressement que vous avez mis à nous donner satisfaction en vue de notre retour.

Je me joins à mes parents et avant pour vous envoyer l'assurance de mes sentiments reconnaissants et dévoués.

Signé Jenny Dutrix (nom incertain)
                           
                             
P6
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dimanche 19 mai 2019

50 kg de pommes de terre. Bel en-tête. 19 mai 1919. N°312.


19 mai 1919

Spécialité de pommes de terre en gros
Produits du sol.
Fruits en gros.
Légumes frais & sec
Oignons et aulx.
Choux et échalotes.
Noix et cerneaux tout venant.
Grains.
Graines fourragères
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lundi 6 mai 2019

Lettre du Général Lyautey. 6 mai 1919. Signature manuscrite. N°311.

Le Général Lyautey, Résident Général Maroc, au QG à Rabat , le 6 mai 1919.
Remerciements pour les Bréguet sanitaires. Tous lesAR sont hors service.


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mardi 9 avril 2019

Les dentellières contestent. 9 avril 1919. N° 309.

Lettre oh combien émouvante, transcrite sans les fautes car c'est trop difficile !
Les dentellières de Saint-Romain. P1
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 Saint-Romain le 9 avril 19

Un groupe d'ouvrière dentellière
Monsieur Chassaing député du Puy-de-Dôme

Nous avons l'honneur de venir solliciter
Votre haute bienveillance et votre appui voici
Monsieur le député le motif de notre demande
en vue de la cherté des vivres l'ouvrière dentellière
est la seule qui n'ait pas obtenu aucune indemnité
ici nous sommes nombreuses qui ne touchons pas
D'allocations depuis la guerre nous avons épuisé
les quelques économies que nous possédions et
la dentellière ne peut plus vivre son travail n'a
pas augmenté à proportion de la vie chère
Pour gagner 1,25 Fr. à 1,50 Fr. par jour il faut commencer
à 7h du matin à 9h du soir ou même 10 heures
De plus il faut fournir notre fils à 1 fr les 450 m
avec cette quantité nous pouvons en faire à peu près
Pour la somme de cinq francs notre bénéfice est bien
minimes elle ensuite elle se vend à ... Illisible ce qui fait 1,20 m

Les dentellières de Saint-Romain. P2 et 3
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P2 et 3
C'est vous dire monsieur le député Chassaing
combien d'ouvrière en dentelle est malheureuse
depuis la guerre surtout celle qui n'a que ce seul
produit pour vivre et ne touchant aucune
allocation pas d'un deminitte (illisible) de cherté de
vivre nous nous sommes réunies un groupe
 des plus méritantes et nous avons pensé
de nous adresser à notre cher Député qui
a toujours soutenu les malheureux par
votre intervention Monsieur le Député 
ne pourrions-nous pas obtenir un secours
pour les ouvrières les plus méritantes
ne touchant pas d'allocations dont
leur signature sera ci-jointe nous
vous serons toutes très reconnaissantes
Si toutefois notre demande peut être
prise en considération recevez
Monsieur le Député notre vive
Gratitude et notre profond respect

V (illisible) Béjot à Saint-Romain Puy-de-Dôme
Marie mètres (illisible)
Delphine Bayle
Marie Bayle
Elisa Courlandon
Marie Chomette
Marie Coulandon
Madeleine Coulandon
JoséphineBayle.

jeudi 4 avril 2019

L'Affreuse Faucheuse. 4 avril 1919. N°308

Le docteur Chassaing demande à un jeune patient de parler de sa maladie. 
Avant: 120 kg sur le dos !
Encre verte.
Transcription telle quelle.

L'Affreuse Faucheuse. P1
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 Lyon le 4 (ou 5) Avril 1919

R

Monsieur le Député
Chassaing

Je vous accuse réception de votre honorée du 4 écoulée et vous remercie infiniment de l'intérêt que vous portez pour moi.
Je veux bien acquiescer à votre désir et vous donner quelques détails sur mon état actuel, (mais ne comprends pas très bien votre but) je vais vous répondre en deux termes.

1° Le suis bien traité à l'hôpital 9, je n'ai aucune plainte à former à mon sujet, je suis bien traité
 et bien content de tout ce que l'on fait pour moi.

2° Ma maladie : je ne peux dire la vérité exacte à mes parents surtout pour ma vieille mère qui elle-même n'est pas très robuste, je leur ai toujours dis que ma maladie était sans
L'Affreuse Faucheuse. P2
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P2

gravité de la bronchite chronique seulement, qui serait guérissable avec un peu de repos avec l'air du pays et un traitement approprié.

Mais je ne pense pas de même je souffre continuellement des sommets surtout du droit où j'ai une diminution de la force musculaire très marquée à l'extérieur, j'ai eu par période d'importantes et inophtisie illisible, les transpirations abondantes et nocturnes m'inquiètes aussi, l'expectoration ayant été négative l'année dernière au mois d'août n'en a pas moins rester très purulente et abondante, avec une toux continue toute la journée et par fortes quintes les nuits, enfin un amaigrissement de 11 kg depuis le 11 juillet 1916 et ces dernier temps je perds 1 kg par mois, en 1916 je portai facilement 120 kg sur le dos et aujourd'hui de 30 kg le poids est largement suffisant.

Mes diagnostic on toujours étaient conçurent en ces termes :

Bronchite double d'origine bacillaire, Submatité des sommets avec induration ou infiltrations–ou bronchite persistante, sclérose du sommets. Tout cela dénote de la T. P. mais


P3
non évolutive encore, mais qui peut le devenir ?…

Vous voyez que je ne peux pas dire tout cela à mes bons et vieux parents, connaissant parfaitement moi-même que la maladie dont je suis atteint est incurable, et sachant que je ne pourrai plus continuer mon métier de polisseur sur métaux, je leur ai promis sans leur dire pourquoi, que je resterai avec eux, les aiderai à cultiver leurs terres, jusqu'à ce que l'Affreuse Faucheuse vienne prendre mes jeunes années.

J'espère que vous-même vous ferai comme moi, que vous leur donnerai  beaucoup espérer, comme j'ai toujours fait moi-même.

Je vous remercie infiniment de tout ce que vous faite pour moi.
Recevez Monsieur mes bien sincères salutations.


Vialatte

samedi 30 mars 2019

L'université de médecine de Strasbourg progresse. 30 mars 1919. N° 307

Lettre du Docteur Georges Weiss, désigné pour sauvegarder l'extraordinaire faculté de médecine de Strasbourg. Il a vu le président de la république et Monsieur Millerand. "je crois que nous allons vers des jours meilleurs"
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vendredi 29 mars 2019

Bel en-tête, pour des chapelets. .29 mars 1916. N°306.

29 mars 1919.
Le  fils a passé 15 mois en Angleterre afin de pouvoir aider son père dans l'exportation des chapelets..
En-tête de papier à lettre pour fabrique de chapelets
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Demande de sursis pour son fils.
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mardi 19 mars 2019

Révocation de l'huissier Couderc, 19 mars 1919. N°305.

 Lettre pathétique du 19 mars 1919
Orthographe respectée
P1
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P2  et 3
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 P1 Clermont-Ferrand le 19 mars 1919.
R

Mon cher monsieur le député

C'est avec un profond chagrin que je vous envois cette lettre. Croyez pourtant Monsieur le député que je n'ai rien fait pour mériter une pareille injustice
Car la chose dont on m'accuse n'a jamais existé
Mon grand désire serait que devant vous quatre qui avez pris ma défense je puisse me justifier et faire sentir à mes accusateurs que j'ai

 P2 toujours été un honnête serviteur.

En attendant votre retour à Clermont me voilà relégué dans un coin, comme un chien galeu, sans même qu'il me soit permis de monter dans les antichambres, où étais mon ancien service.
Il faut croire que ceux qui ont travaillé avec me médire auprès de Monsieur le préfet n'ont pas perdu leur temps. Car le remplaçant de mon collègue Jean Grossonnanche  (illisible) qui est de Pont-du-Château protégé de Monsieur Bonhomme (mot de passe sûr) conseiller de Préfecture est rentré hier en fonctions
P4
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P3 après quelques paroles que nous nous sommes échangés, ce jeune homme m'a assuré qu'il n'avait pas besoin de chercher un logement du moment qu'il prenait la loge de la Préfecture. Et Monsieur le secrétaire général a donner l'ordre à mon collègue Jean de lui passer toutes les consignes et le mettre au courant de ce qu'il doit faire. Je suis à me demander Monsieur Chassing si après quatre ans et demi de misère et 12 ans de service dans la préfecture (sans reproche) il n'aurais pas mieux valut
 que les blessures que j'ai rapporté de la


P4 guerre ne m'est tué sur place que de recevoir un pareil affront.

Avec l'espoir que vous me tendrez la main et me viendrez en aide dans ces moments difficils, qui pourrai peut-être tourner au tragique.

Recevez de votre tout dévoué l'assurance de mon profond respect

 Coudert

Coudert François-Xavier huissier à la préfecture du Puy-de-Dôme
Clermont-Ferrand




lundi 11 mars 2019

Question Écrite sur la démobilisation en Orient. 11 mars 1916. N° 304.

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Question 26 295
Du 21 janvier 1919

La démobilisation n'est pas du tout terminée, surtout pour l'armée d'Orient.

lundi 4 mars 2019

Visite d'une commission à l'université de Strasbourg. 4 mars 1919. N° 303.

Lettre trouvé en été 2018, donc pas encore numérisé par les Archives du Puy-de-Dôme.

Visite d'une commission sénatoriale à la Faculté de Médecine de Strasbourg.
Récit du Docteur Georges Weiss,
Visite d'une commission sénatoriale. P1
Pourriez-vous faire partie de la commission ? P2

Rist nous quitte. P3

samedi 23 février 2019

AS: transport du Général Poeymiraud. 23 février 1919. N°302.

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Flandin, Bou-Denib

















Le 18 novembre 2010 le médecin inspecteur général Timbal du Val De Grâce nous a dit que le général Poeymirau avait été transporté sans aménagement, ficelé sur le fuselage, et était arrivé frigorifié à Bou-Denib.





p1


Algésiras 23/2–19

Monsieur le député,
Vous avez sans doute été mis au courant des très grands services rendus par l'aviation sanitaire au cours des opération de Bou-Denib. J'avais, en effet, prié Monsieur Flandin de vous dire
Poeymirau, Lyautey, Tuffier, Montagnon
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p2 et p3

p2
combien le commandement appréciait le nouveau mode de transport des blessés. Le général Poeymirau a été transporté en avion et le Général Lyautey ainsi que le Docteur Tuffier ont assisté à l'arrivée de 2 blessés amenés par la voie des airs. Dès que nous aurons nos sanitaires, à raison de 4 par escadrille, tout ira bien.

p3
Malheureusement pendant cette colonne nous avions comme chef de la section sanitaire le S/Lt  Montagnon qui n'a même pas pu rejoindre Bou-Denib et qui s'est montré tellement inférieur et tellement hésitant que j'ai demandé sa radiation du personnel navigant et son renvoi immédiat dans un autre service. Par sa faute nous


p4
nous avons manqué le transport de plusieurs blessés comme à Arbaoua d'ailleurs. Je compte vous dire à mon prochain passage à Paris, et documents en main, ce que nous avons fait à Bou-Denib et comment je compte organiser le futur service sanitaire aérien ainsi créé grâce à vous.

Veuillez agréer, Monsieur le député, l'assurance de mes sentiments respectueux et les meilleurs

Je suis actuellement en mission ici pour l'aviation civile.                 Cheutin

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p4
Arbaoua, Cheutin




lundi 18 février 2019

Aviation sanitaire au Maroc. 18 février 1919. N° 301.

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Bulletin de l'académie de médecine du 18 février 1919



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jeudi 7 février 2019

Appel au secours du Dr Weiss pour la fac de médecine à Strasbourg. 7/2/1919. N°299

7 février 1919.
Après la grande inquiétude du 5 décembre 1918, où le docteur Georges Weiss se voyait écarté de la réorganisation de la faculté de Médecine de Strasbourg, il est finalement envoyé ; mais d'innombrables difficultés surgissent.


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lundi 14 janvier 2019

Trois photos du Bréguet 14 transformé. 14/1/1919≈. N°298.

Le Bréguet 14 transformé en Avion Sanitaire
Il va aller au Maroc.
Vraie date : début janvier 1919

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