Essais devant le sous-secrétaire d'État à la Santé. 26 septembre 1917. N° 231.

2è série d'essais devant monsieur Justin Godart et autres personnalités , le 26 septembre 1917, à nouveau à Villa-Coublay.

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Article " Aurons-nous des avions Croix-Rouge?"

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Le Dr Chassaing ficelé pour faire l'expérience.
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Photo "Petit Parisien"
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Vue 121. Le Dr Chassaing en cours d'installation dans l'avion,
 semble saluer

Vue 123. Certainement le caporal Têtu,
 2è volontaire pour tenter l'expérience

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Dr Chassaing ficelé dans l'avion
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L'avion type AR, dans le ciel

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Justin Godart, Eugène Chassaing
et autres autorités

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Coupure de Excelsior

Couverture du journal "Les On Dit"
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Article "l'avion-brancard"

Les tout premiers essais de l'Avion Sanitaire à Villa-Coublay, 22 septembre 1917. N° 230

22 septembre 1917: le Doran Dalsace à Villa-Coublay, les tout 1ers essais.

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 Le caporal Têtu dans le brancard du bas.

Coupure de presse sur essais du 22 septembre
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Aviation Sanitaire; arrêt des essais?18 septembre 1917. N° 229.

18 septembre 1917

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Carnet N° 24 du Dr Chassaing

Dans ce 24è carnet de seulement 16 pages, seule cette page est de 1917

Le 18 septembre 1917

À 10h vu le colonel Dorand et le lieutenant Dalsace -

Communication du 2è bureau de l'aéronautique soumettant ( mot pas sûr) une note du GQG relative à mon avion.

L'impression du colonel Dorand -

Vu le capitaine Riché de l'aviation. 

 L'ordre de ne pas continuer les expériences et de suspendre la construction de l'avion est basé sur des motifs et des considérations auxquels il est aisé de répondre.

Le capitaine est d'avis que la seule difficulté est celle de l'atterrissage à l'avant. Cette difficulté ne sera pas insurmontable.–

- Téléphoniquement il demande à Dorand de continuer. 

Avions Sanitaires? Aucun intérêt! 6 septembre 1917. Blog N° 228.

P 1: Le 6 septembre: aucun intérêt actuellement

Aviation Sanitaire: des débuts difficiles.

P 2: le 11 juillet, c'était pourtant prometteur.

Un député (le Dr Chassaing) victime des gaz. 1/9/1917. N° 227.

Le Dr Chassaing s'est soumis volontairement au nouveau gaz asphyxiant l'ypérite. Il voulait, en tant que médecin, en étudier les effets

Il donna pendant plusieurs jours beaucoup d'inquiétude à son entourage.

Malheureusement à ce jour nous n'avons pas trouvé le rapport de son expérience.

Coupure de la revue "XIXè siècle", envoyée le 2 septembre 1917 au Dr Chassaing, sur sa demande.

L'Argus de la Presse.
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